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Thibaud Spieser et Kévin Brin aux débuts de Swello en 2016 – Photo Swello

 

L’idée est partie de la création d’un logiciel afin de pouvoir programmer du contenu sur Twitter. Jonathan Noble crée alors la solution ClockTweets. En s’étendant ensuite à d’autres médias, l’entreprise devient Swello, une plateforme destinée aux communicants pour la gestion de leurs réseaux sociaux. 

C’est après ses études que Jonathan décide de lancer ce projet d’entreprise avec son associé Thibaud Spieser. Par la suite ils intégreront dans leur équipe Kévin Brin, développeur, pour son stage de fin d’études. L’aventure se poursuit en contrat ARDAN avant une embauche définitive. Le concept de l’entreprise toulonnaise séduit puisqu’elle a depuis fait une levée de fonds qui lui a permis de développer son activité et de faire de nouvelles embauches ! 

Comment avez-vous connu ARDAN ? 

Jonathan : Nous nous sommes d’abord renseignés sur les différentes aides auxquelles nous pouvions prétendre, nous avons connu le dispositif ARDAN grâce à TVT Innovation qui en est promoteur. Nous avons ensuite soumis l’idée à Kevin qui était déjà en stage chez nous. 

Kévin : J’aimais l’idée de pouvoir continuer à travailler chez Swello, j’ai donc décidé d’accepter cette offre en contrat ARDAN. 

Qu’est-ce qui vous a poussés à faire appel à ce dispositif ? 

Jonathan : Notre entreprise était très jeune et nous avions peu de moyens financiers. Nous nous sommes renseignés sur plusieurs dispositifs avant de choisir ARDAN. C’est arrivé au bon moment, car Kévin était déjà stagiaire chez nous et ARDAN nous a permis de le garder et donc de garder un tiers de notre effectif, ce qui est énorme pour une jeune entreprise ! De plus ARDAN a permis à Kevin de suivre une formation diplômante pendant laquelle il a créé des documents qui nous sont encore utiles à l’heure actuelle. 

Kévin : La richesse de la formation offerte par ARDAN permet de sortir de son domaine de prédilection. Grâce à cela, j’ai pu connaître différents métiers qui permettent de s’ouvrir l’esprit et de partir sur des projets auxquels nous n’aurions pas pensé au départ. 

Après les 6 mois de mission, quel est votre bilan ? 

Jonathan : Tout s’est enchaîné assez vite, la formation nous a permis d’affiner certains choix de développement. 

Kévin : A nos débuts, le marketing et la communication n’existaient pas encore, nous étions sur du pur développement. ARDAN nous a permis de sortir de notre bulle et de répondre à nos problématiques au tout début de l’entreprise. 

Avez-vous un conseil à donner aux entrepreneurs et aux demandeurs d’emploi qui hésitent à avoir recours à ce dispositif ? 

Jonathan : Il ne faut pas hésiter à aller voir les structures qui peuvent vous accompagner, à faire le point sur les avantages et inconvénients et faire un point votre situation pour monter un dossier. Il est important de se rapprocher des structures et de noter tout ce que cela implique. 

Kévin : En étant sur une fin d’études et sur de nouveaux projets, cela m’a permis de prendre conscience de tout ce que cela impliquait de travailler dans une jeune entreprise. 

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